ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES
A PROPOS
Passionnant documentaire sur le président du Burkina Faso, assassiné en 1987. Impossible de ne pas tomber en admiration devant ce révolutionnaire anticolonialiste, féministe et écologiste, qui rebaptisa son pays (la Haute-Volta devint « le Pays des hommes intègres »), lutta contre l'illettrisme et réclama l'annulation de la dette africaine. Après avoir réentendu son discours sur les exclus à la tribune de l'ONU et revu les images du dîner officiel où, devant François Mitterrand, il condamnait la France pour avoir accueilli Pieter Botha, le Premier ministre d'Afrique du Sud, et Jonas Savimbi, chef de l'Unita (Union nationale pour l'indépendance de l'Angola), « couverts de sang des pieds jusqu'à la tête », on est prêt à croire que ce capitaine courage aurait pu changer le monde
Guillemette Odicino (Télérama)
Ciné doc
jeudi 18 février
2016 à 20h15
en présence de Pauline Tétillon, Survie 49 et Louis Mathieu, Cinéma Parlant
Soirée organisée en collaboration avec SURVIE 49, ATTAC 49, Cinéma Parlant
CAPITAINE THOMAS SANKARA
de Christophe Cupelin
Documentaire
SUISSE - 2012 - 1h30
Capitaine Thomas Sankara dévoile le destin unique du président du
Burkina Faso, de son élection en 1983 à son assassinat en 1987.
Révolutionnaire, féministe et écologiste, Thomas Sankara a transformé
l’un des pays les plus pauvres du monde en défendant la voix des exclus
jusqu’à la tribune de l’ONU pour réclamer l’annulation de la dette
africaine. Ces archives étonnantes redonnent la parole à ce leader
charismatique qui a marqué les consciences bien au-delà de l'Afrique.
http://www.capitainethomassankara.net/
A PROPOS
Passionnant documentaire sur le président du Burkina Faso, assassiné en 1987. Impossible de ne pas tomber en admiration devant ce révolutionnaire anticolonialiste, féministe et écologiste, qui rebaptisa son pays (la Haute-Volta devint « le Pays des hommes intègres »), lutta contre l'illettrisme et réclama l'annulation de la dette africaine. Après avoir réentendu son discours sur les exclus à la tribune de l'ONU et revu les images du dîner officiel où, devant François Mitterrand, il condamnait la France pour avoir accueilli Pieter Botha, le Premier ministre d'Afrique du Sud, et Jonas Savimbi, chef de l'Unita (Union nationale pour l'indépendance de l'Angola), « couverts de sang des pieds jusqu'à la tête », on est prêt à croire que ce capitaine courage aurait pu changer le monde
Guillemette Odicino (Télérama)