PROCHAINEMENT

LA CHAMBRE D'À CÔTÉ
de Pedro Almodóvar
HIVER À SOKCHO
de Koya Kamura
LES FEUX SAUVAGES
de Jia Zhang-Ke
BERNIE
de Richard Linklater
MOTEL DESTINO
de Karim Aïnouz
LE CHOIX DU PIANISTE
de Jacques Otmezguine
PAS LE CHOIX
de Hrysto
COMMUNE COMMUNE
de Dorine Brun & Sarah Jacquet
FAUX-SEMBLANTS
de David Cronenberg
eXistenZ
de David Cronenberg
BABY GIRL
de Halina Reijn
LE DOSSIER MALDOROR
de Fabrice Du Welz
LE QUATRIÈME MUR
de David Oelhoffen
MÉMOIRES D'UN ESCARGOT
de Adam Elliot
JE SUIS TOUJOURS LÀ
de Walter Salles
SPECTATEURS !
de Arnaud Desplechin
PAR AMOUR
de Elise Otzenberger
ADIEU PHILIPPINE
de Jacques Rozier
JOUER AVEC LE FEU
de Delphine et Muriel Coulin
MARIA
de Pablo Larraín
ZORN I &II
de Mathieu Amalric
UN PARFAIT INCONNU
de James Mangold
LA PIE VOLEUSE
de Robert Guédiguian
NOBLESSE OBLIGE
de Robert Hamer
LE MAL N'EXISTE PAS
de Ryûsuke Hamaguchi
MISÉRICORDE
de Alain Guiraudie
LES GRAINES DU FIGUIER SAUVAGE
de Mohammad Rasoulof
LA ZONE D'INTÉRÊT
de Jonathan Glazer
LE COMTE DE MONTE-CRISTO
de Matthieu Delaporte & Alexandre De La Patellière
THE SUBSTANCE
de Coralie Fargeat
L'HISTOIRE DE SOULEYMANE
de Boris Lojkine
EMILIA PEREZ
de Jacques Audiard
ZORN III
de Mathieu Amalric
BLACK SWAN
de Darren Aronofsky
MON GÂTEAU PRÉFÉRÉ
de Maryam Moghadam & Behtash Sanaeeha
MARIA
de Pablo Larraín
DE L'OR EN BARRES
de Charles Crichton
GOODNIGHT AND GOOD LUCK
de George Clooney
TUEURS DE DAMES
de Alexander Mackendrick
LE SANG À LA TÊTE
de Gilles Grangier
TROIS JOURS A VIVRE
de Gilles Grangier
125 RUE MONTMARTRE
de Gilles Grangier
LA TÊTE EN L'AIR
de Ignacio Ferreras
ELEPHANT MAN
de David Lynch
ERASERHEAD
de David Lynch
MARY À TOUT PRIX
de Peter & Bobby Farrelly
L'AMOUR ET LES FORÊTS
de Valérie Donzelli
LE SILENCE DES AGNEAUX
de Jonathan Demme
SEVEN
de David Fincher

LA PRESSE

ECRAN LARGE
Avec la mise en scène d'une folle liberté de Karim Aïnouz, "Motel Destino" se vit donc surtout comme une expérience du désir, de la passion, de la tentation… enivrée par la bande-originale surexcitée d'Amine Bouhafa et la photo planante de la Française Hélène Louvart.
  Lire l'article
L'OBS
Baignant dans une chromie parfois agressive de néons rouge et vert, jouant jusqu'au vertige de l'espace labyrinthique de son décor, Aïnouz nous envoûte, perturbe nos sens et nous retient captifs dans cette fantasmagorie un peu vaine mais particulièrement torride.
  Lire l'article
LE MONDE
Le souvenir du "Facteur sonne toujours deux fois" (1946), de Tay Garnett, entre autres, s'insinue chez le spectateur. Il est, dès lors, loisible de ressentir ce plaisir si particulier qui consiste à voir se dérouler un programme à la fois familier et bizarre, l'étrange délocalisation d'un récit déjà conté, tout autant que le suspense intrinsèque à la situation décrite.
  Lire l'article
LIBÉRATION
Le cinéaste brésilien signe un néonoir mineur mais séduisant autour d'un trio amoureux dans un hôtel de passes.
  Lire l'article
TÉLÉRAMA
La profondeur manque, laissant la place à une impression de gratuité.
  Lire l'article
A VOIR À LIRE
Force est de constater que Karim Aïnouz s'est embarqué dans un projet mal fichu dont on peine à percevoir les intentions idéologiques et artistiques.
  Lire l'article
A partir du mercredi 8 janvier

MOTEL DESTINO

de Karim Aïnouz

BRÉSIL - 2024 - 1h52 - version originale sous-titrée

Avec Iago Xavier, Nataly Rocha, Fábio Assunção...

Cannes 2024

Interdit - 12 ans


Ceará, côte nord-est du Brésil. 30 degrés toute l'année. Chaque nuit, au Motel Destino, se jouent à l'ombre des regards de dangereux jeux de désir, de pouvoir et de violence. Un soir, l'arrivée du jeune Heraldo vient troubler les règles du motel.

Filmographie : "Le jeu de la reine", "La Vie invisible d'Eurídice Gusmão", "Madame Sata"...

LA PRESSE

ECRAN LARGE
Avec la mise en scène d'une folle liberté de Karim Aïnouz, "Motel Destino" se vit donc surtout comme une expérience du désir, de la passion, de la tentation… enivrée par la bande-originale surexcitée d'Amine Bouhafa et la photo planante de la Française Hélène Louvart.
  Lire l'article
L'OBS
Baignant dans une chromie parfois agressive de néons rouge et vert, jouant jusqu'au vertige de l'espace labyrinthique de son décor, Aïnouz nous envoûte, perturbe nos sens et nous retient captifs dans cette fantasmagorie un peu vaine mais particulièrement torride.
  Lire l'article
LE MONDE
Le souvenir du "Facteur sonne toujours deux fois" (1946), de Tay Garnett, entre autres, s'insinue chez le spectateur. Il est, dès lors, loisible de ressentir ce plaisir si particulier qui consiste à voir se dérouler un programme à la fois familier et bizarre, l'étrange délocalisation d'un récit déjà conté, tout autant que le suspense intrinsèque à la situation décrite.
  Lire l'article
LIBÉRATION
Le cinéaste brésilien signe un néonoir mineur mais séduisant autour d'un trio amoureux dans un hôtel de passes.
  Lire l'article
TÉLÉRAMA
La profondeur manque, laissant la place à une impression de gratuité.
  Lire l'article
A VOIR À LIRE
Force est de constater que Karim Aïnouz s'est embarqué dans un projet mal fichu dont on peine à percevoir les intentions idéologiques et artistiques.
  Lire l'article