ACTUELLEMENT

Semaine du 8 au 14 janvier
LA CHAMBRE D'À CÔTÉ
de Pedro Almodóvar
HIVER À SOKCHO
de Koya Kamura
LES FEUX SAUVAGES
de Jia Zhang-Ke
BERNIE
de Richard Linklater
MOTEL DESTINO
de Karim Aïnouz
EN FANFARE
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de David Cronenberg
EXiSTENZ
de David Cronenberg
NOUVEAUTE
affiche HIVER À SOKCHO Koya Kamura

HIVER À SOKCHO

de Koya Kamura

FRANCE - CORÉE DU SUD - 2024 - 1h45 - version originale sous-titrée

Avec Roschdy Zem, Bella Kim, Park Mi-Hyeon...


Mer 8 Jeu 9 Ven 10 Sam 11 Dim 12 Lun 13 Mar 14
15:20*accessible aux personnes à mobilité réduites
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* Séance accessible aux personnes à mobilité réduite

A Sokcho, petite ville balnéaire de Corée du Sud, Soo-Ha, 23 ans, mène une vie routinière, entre ses visites à sa mère, marchande de poissons, et sa relation avec son petit ami, Jun-oh. L'arrivée d'un Français, Yan Kerrand, dans la petite pension dans laquelle Soo-Ha travaille, réveille en elle des questions sur sa propre identité et sur son père français dont elle ne sait presque rien. Tandis que l'hiver engourdit la ville, Soo-Ha et Yan Kerrand vont s'observer, se jauger, tenter de communiquer avec leurs propres moyens et tisser un lien fragile.

Filmographie : 1er film

Ciné Cosy - vendredi 10 janvier à 13h15 - Tarifs habituels - Gratuit pour les bébés de moins de 12 mois
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NOTE DES SPECTATEURS

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Moyenne : 5,9/10 (16 spectateurs)

SUR LA TOILE

Tendre par la douceur de son héroïne, ce cruel portrait d'une jeune fille qui se sent abandonnée, malgré l'attention de sa mère, vire au drame intimiste dont les sursauts se retrouvent étouffés par la tranquillité des paysages enneigés et l'attitude un peu abrupte de l'étranger.
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Un long-métrage subtil qui dévoile tout le talent du cinéaste.
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Porté par le duo Bella Kim- Roschdy Zem et leur éventail de nuances dans les silences, Hiver à Sokcho séduit par le contraste entre la violence intime de ce qui s'y joue et la douceur enveloppante de sa mise en scène.
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LA PRESSE

L'OBS
Un premier film délicat porté par un Roschdy Zem immense
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TÉLÉRAMA
Un premier film à la délicatesse d'un haïku.
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A VOIR À LIRE
Cette coproduction franco-coréenne mérite le détour pour la finesse de son portrait psychologique et un décor urbain austère à contre-courant des codes romanesques.
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CRITIKAT
Heureusement, Hiver à Sokcho complexifie cette rencontre entre « deux personnes que tout oppose » (pour reprendre la formule consacrée) en maintenant une part d'ambiguïté dans leur relation.
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LIBÉRATION
Le film a du charme bien entendu comme souvent ses évocations déphasées des visiteurs de passage mais difficile de ne pas trouver que l'hiver cotonneux passe bien lentement.
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LES INROCKUPTIBLES
Si "Hiver à Sokcho" a quelque chose du film tendre, il s'enlise assez vite dans des imaginaires préconçus.
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