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ALL WE IMAGINE AS LIGHT

de Payal Kapadia

INDE - 2024 - 1h55

Avec Kani Kusruti, Divya Prabha, Chhaya Kadam...

Grand Prix Cannes 2024


Mer Jeu Ven Sam Dim Lun Mar
16:40
19:10
13:15
19:10

Sans nouvelles de son mari depuis des années, Prabha, infirmière à Mumbai, s'interdit toute vie sentimentale. De son côté, Anu, sa jeune colocataire, fréquente en cachette un jeune homme qu'elle n'a pas le droit d'aimer. Lors d'un séjour dans un village côtier, ces deux femmes empêchées dans leurs désirs entrevoient enfin la promesse d'une liberté nouvelle.

Filmographie : "Toute une nuit sans savoir"

NOTE DES SPECTATEURS

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Moyenne : 5,5/10 (58 spectateurs)

SUR LA TOILE

Le deuxième long-métrage de Payal Kapadia pose un regard empathique et sensuel sur trois femmes à Mumbai, et suit les courbes de leurs désirs de liberté et d'émancipation.
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Après Toute une nuit sans savoir, documentaire ayant remporté l'Oeil d'Or en 2021, Payal Kapadia réussit à merveille son passage à la fiction avec All We Imagine as Light, Grand Prix au Festival de Cannes.
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LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Une boucle parfaite qui sonde la capacité des êtres à sécher leurs larmes, à panser leurs plaies, sans oublier ni regretter pour qui et pour quoi battait leur coeur.
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ECRAN LARGE
Film mosaïque merveilleux sur l'immensité de Mumbai et ses flux humains, All We Imagine As Light en tire trois portraits bouleversants de femmes solidaires dans l'adversité. La finesse et la douceur de Payal Kapadia font toute la différence, en plus de faire un bien fou.
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LE MONDE
Il faut ici saluer la grâce avec laquelle la réalisatrice filme la métropole comme un manège faussement enchanté. Le retour de Parvaty vers son village d'origine, dans la région côtière de Ratnagiri, est l'occasion d'une seconde partie plus solaire, et rêveuse, où les tempéraments des trois femmes s'affirmeront.
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LIBÉRATION
C'est ainsi que Kapadia fait un film indien exotique sans vendre grand-chose de la pacotille pittoresque, touristique. S'il existe une «internationale de l'indépendance art et essai», au contraire, elle est tropicale et radicale : elle sait se mouiller.
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TÉLÉRAMA
En entremêlant ainsi, subtilement, vie matérielle et états d'âme flottants, âpreté et sensualité, en faisant la part belle aux transports et à la balade, malgré la peur et la contrainte qui malmènent la sororité en fleur, ce kaléidoscope aux couleurs saturées touche.
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A VOIR À LIRE
Suggestif et intimiste, réaliste et onirique, ce long métrage indien confirme le talent d'une réalisatrice inspirée mais n'échappe pas aux travers du film de festival.
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L'OBS
Les intentions sont louables : conter sur trois générations de femmes indiennes les rapports aux hommes et au désir, à la loi, à la justice et à la transgression. Mais la mise en scène enfonce un peu trop le clou.
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CRITIKAT
Délicatesse : telle est la qualité à double tranchant du film, pas dénué de tendresse pour ses personnages, mais qui souffre d'un manque d'incarnation dans la manière de figurer leur cheminement vers une lumière ténue au coeur de la nuit.
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