PROCHAINEMENT

LES RÈGLES DE L'ART
de Dominique Baumard
LES LINCEULS
de David Cronenberg
TU NE MENTIRAS POINT
de Tim Mielants
LITTLE JAFFNA
de Lawrence Valin
TARDES DE SOLEDAD
de Albert Serra
RÈGLEMENT DE COMPTES
de Fritz Lang
LE SILENCE DES AGNEAUX
de Jonathan Demme
SEVEN
de David Fincher
LES MUSICIENS
de Grégory Magne
RUMOURS, NUIT BLANCHE AU SOMMET
de Guy Maddin, Evan Johnson, Galen Johnson
UN MONDE MERVEILLEUX
de Giulio Callegari
L'EFFACEMENT
de Karim Moussaoui
LE VIOLENT
de Nicholas Ray
PARTIR UN JOUR
de Amélie Bonnin
MARCO, L'ÉNIGME D'UNE VIE
de Aitor Arregi & Jon Garaño
QUATRE NUITS D'UN RÊVEUR
de Robert Bresson
LES MAUDITES
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LA VENUE DE L'AVENIR
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JEUNES MÈRES
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THE PHOENICIAN SCHEME
de Wes Anderson
LILI MARLEEN
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GOSSES DE TOKYO
de Yasujiro Ozu
LE RÉPONDEUR
de Fabienne Godet
DAVID GOLDER
de Julien Duvivier
LES CINQ GENTLEMEN MAUDITS
de Julien Duvivier
POIL DE CAROTTE
de Julien Duvivier
LA TÊTE D'UN HOMME
de Julien Duvivier
PÉPÉ LE MOKO
de Julien Duvivier

LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Serra filme un monde parallèle, hors du nôtre, hallucinant et pourtant bien réel, où le torero au regard fou sadise le taureau, où chaque membre de la cuadrilla est complètement accro à la testostérone et à l'adrénaline, voire à la cruauté, où chacun semble vivre dans un état second.
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A VOIR À LIRE
En laissant la réception du spectacle hors-champ, Albert Serra est plus attentif aux corps, à leurs contorsions, leurs convulsions et leur étreinte morbide. Par son dispositif à rebours du documentaire classique, il confronte et dévoile les corps dans leurs plus infimes battements et vacillements.
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CRITIKAT
Tardes de soledad prend la forme d'une expérience, avec ce qu'elle engage de jeu pervers : où commence notre indifférence et jusqu'où va-t-elle ? Ou bien : jusqu'où peut-on admettre de ne pas souffrir devant un film ?
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LE MONDE
De l'espace polémique qui régit tout discours sur la corrida, le film se tient délibérément au-delà, ou plutôt en deçà. En ne recourant ni au commentaire en voix off ni au dispositif de l'entretien pour leur privilégier des faits bruts, il investit plutôt la tour d'ivoire qui entoure son personnage, cette suite d'« après-midi de solitude » qui, selon le titre, recouvre la souveraineté isolée du torero.
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LIBÉRATION
Si Serra réussit l'exploit de ne pas « jouer le jeu » de la corrida, c'est qu'il ne la filme pas tout à fait – esquivant par la même toute possibilité de dénonciation – et l'utilise plutôt comme canevas d'un portrait de mâle au virilisme douteux.
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TÉLÉRAMA
Le réalisateur de “Pacifiction” pose un regard inédit et stupéfiant sur la tauromachie, le combat de la vie et de la mort.
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L'OBS
A cette aune, comment séduire les anti-corrida ? Par ce regard d'entomologiste mi-malicieux, mi-cruel porté sur le personnage d'Andrés Roca Rey, petit monstre narcissique ivre de lui-même qui, à bien des égards, semble importé du cinéma de Werner Herzog.
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SUR LA TOILE

Albert Serra confronte à un sujet mille fois traité son esthétique de l'épuisement et de la sublimation pour un objet hybride, entre le documentaire le plus cru et l'installation expérimentale.
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Ahurissante immersion dans le cercle brûlant de l'arène et dans le sillage de sang du toréador star Roca Rey, où la virilité violente de la corrida est filmée comme une pantomime grotesque. Un documentaire hypnotique et ambigu, du plus roublard des réalisateurs contemporains.
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Albert Serra, avec lyrisme, laisse entrevoir le mystère qui demeure, même en 2025 : pourquoi jouer sa vie en public face à un animal sauvage ?
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A partir du mercredi 30 avril

TARDES DE SOLEDAD

de Albert Serra

ESPAGNE - 2024 - 2h05 - version originale sous-titrée

Documentaire

Interdit au moins de 12 ans avec avertissement.


Interdit au moins de 12 ans avec avertissement.
Certaines scènes sanglantes du spectacle de la corrida filmées en plans rapprochés qui en intensifient la perception sont susceptibles de troubler un public non averti.

A travers le portrait du jeune Andrés Roca Rey, star incontournable de la corrida contemporaine, Albert Serra dépeint la détermination et la solitude qui distinguent la vie d'un torero. Par cette expérience intime, le réalisateur de PACIFICTION livre une exploration spirituelle de la tauromachie, il en révèle autant la beauté éphémère et anachronique que la brutalité primitive. Quelle forme d'idéal peut amener un homme à poursuivre ce choc dangereux et inutile, plaçant cette lutte au-dessus de tout autre désir de possession ?

Filmographie : "Pacifiction", "Liberté", "La mort de Louis XIV"...

LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Serra filme un monde parallèle, hors du nôtre, hallucinant et pourtant bien réel, où le torero au regard fou sadise le taureau, où chaque membre de la cuadrilla est complètement accro à la testostérone et à l'adrénaline, voire à la cruauté, où chacun semble vivre dans un état second.
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A VOIR À LIRE
En laissant la réception du spectacle hors-champ, Albert Serra est plus attentif aux corps, à leurs contorsions, leurs convulsions et leur étreinte morbide. Par son dispositif à rebours du documentaire classique, il confronte et dévoile les corps dans leurs plus infimes battements et vacillements.
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CRITIKAT
Tardes de soledad prend la forme d'une expérience, avec ce qu'elle engage de jeu pervers : où commence notre indifférence et jusqu'où va-t-elle ? Ou bien : jusqu'où peut-on admettre de ne pas souffrir devant un film ?
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LE MONDE
De l'espace polémique qui régit tout discours sur la corrida, le film se tient délibérément au-delà, ou plutôt en deçà. En ne recourant ni au commentaire en voix off ni au dispositif de l'entretien pour leur privilégier des faits bruts, il investit plutôt la tour d'ivoire qui entoure son personnage, cette suite d'« après-midi de solitude » qui, selon le titre, recouvre la souveraineté isolée du torero.
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LIBÉRATION
Si Serra réussit l'exploit de ne pas « jouer le jeu » de la corrida, c'est qu'il ne la filme pas tout à fait – esquivant par la même toute possibilité de dénonciation – et l'utilise plutôt comme canevas d'un portrait de mâle au virilisme douteux.
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TÉLÉRAMA
Le réalisateur de “Pacifiction” pose un regard inédit et stupéfiant sur la tauromachie, le combat de la vie et de la mort.
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L'OBS
A cette aune, comment séduire les anti-corrida ? Par ce regard d'entomologiste mi-malicieux, mi-cruel porté sur le personnage d'Andrés Roca Rey, petit monstre narcissique ivre de lui-même qui, à bien des égards, semble importé du cinéma de Werner Herzog.
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SUR LA TOILE

Albert Serra confronte à un sujet mille fois traité son esthétique de l'épuisement et de la sublimation pour un objet hybride, entre le documentaire le plus cru et l'installation expérimentale.
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