ÉVÉNEMENTS ET SÉANCES SPECIALES

A PROPOS
Sur fond de guerre civile entre le Soudan du Sud et le Soudan du Nord, entre musulmans et chrétiens, une étrange amitié réunit deux femmes issues de ces deux clans opposés. Derrière le secret de ce lien (une dette de sang) se cache un autre secret… Ce premier film a une dimension shakespearienne dans ses strates de faux-semblants, et dénonce avec force le racisme, l’intolérance, la culture de l’esclavage, valeurs héritées d’une civilisation séculaire. Ce jeu d’ombres entre deux femmes est fascinant, et saisi avec une grande maîtrise. Mohamed Kordofani a été, pendant seize ans, ingénieur aéronautique. Il était, en fait, cinéaste. La preuve éclatante en est faite.
François Forestier (L'obs)
Festival Cinémas d'Afrique
samedi 17 mai
à 17h00
Séance suivie d’échanges en salle
Réservations : https://www.helloasso.com/associations/cinemas-et-cultures-d-afrique/evenements/festival-cinemas-d-afrique-1
Séance organisée en collaboration avec Cinémas et Cultures d’Afrique
PAS DE VENTE EN LIGNE
GOODBYE JULIA
de Mohamed Kordofani
avec Eiman Yousif, Siran Riak, Nazar Goma
SOUDAN - 2023 - 2h00 - VOST
Une étrange amitié lie une riche soudanaise musulmane du Nord à une soudanaise chrétienne du Sud démunie après la mort de son mari. Que cache la sollicitude de l’une envers l’autre ?
https://www.arpselection.com/film/goodbye-julia/
A PROPOS
Sur fond de guerre civile entre le Soudan du Sud et le Soudan du Nord, entre musulmans et chrétiens, une étrange amitié réunit deux femmes issues de ces deux clans opposés. Derrière le secret de ce lien (une dette de sang) se cache un autre secret… Ce premier film a une dimension shakespearienne dans ses strates de faux-semblants, et dénonce avec force le racisme, l’intolérance, la culture de l’esclavage, valeurs héritées d’une civilisation séculaire. Ce jeu d’ombres entre deux femmes est fascinant, et saisi avec une grande maîtrise. Mohamed Kordofani a été, pendant seize ans, ingénieur aéronautique. Il était, en fait, cinéaste. La preuve éclatante en est faite.
François Forestier (L'obs)