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GOSSES DE TOKYO de Yasujiro Ozu

JULIUS ET LE PÈRE NOËL - Jacob Ley

A PROPOS

Comme Ma vie de courgette, de Claude Barras, l'histoire de Julius et le Père Noël commence dans un orphelinat des années 1930. Le héros, un garçon de 8 ans est certain que c'est le barbu le plus célèbre du monde qui l'a déposé là bébé. Au grand dam hélas de Gregor et Paul qui se sentent moins aimés depuis son arrivée et cherchent à lui nuire. Mais Julius a d'autres problèmes à régler: le père Noël a disparu et il doit le retrouver.

Ce premier long-métrage de Jacob Ley, 40 ans, met en majesté les personnages traditionnels de son pays natal, le Danemark: ici, une chèvre ou bouc de Noël tressé en paille, là, un petit cochon en massepain, sans oublier les angelots, lutins et autres elfes. Même le «méchant» Krampus (griffes en allemand), le «démon de Noël» vient du Moyen Âge.

Le cinéaste a mélangé techniques d'animation en 3 et 2 D pour rendre l'histoire attrayante. «Ce sont les dessins d'elfes réalisés au 19ème siècle par un de mes aïeuls, Hans-Christian Ley, qui m'ont donné envie de réaliser Julius et le père Noël. Je voulais faire un film de Noël où l'on se reconnecte aux joies simples et aux traditions d'antan», a expliqué Jacob Ley.

L'objectif est atteint. Si le scénario se plaît à emprunter une voie tortueuse -ce qui n'a pas eu l'air d'embarrasser les jeunes spectateurs-, le graphisme et les couleurs enchantent l'œil. Les aventures de l'intrépide Julius tiennent les petits en haleine jusqu'à l'heureux dénouement. À voir à partir de 4 ans. Pas moins, au risque de déclencher des pleurs. Le diabolique Krampus fait aussi peur que le père Fouettard.

Nathalie Simon (Le Figaro)

Ciné goûter
jeudi 22 décembre 2016 à 13h30

suivi d'une rencontre avec Simon Astié, réalisateur et plasticien

à partir de 5 ans


JULIUS ET LE PÈRE NOËL

de Jacob Ley

Film d'animation
DANEMARK - 2016 - 1h20 - version française

Noël reste éternellement lié aux croyances de l'enfance. Julius, qui vit dans l'Orphelinat des Grelots, aime ce moment plus que tout car il est persuadé que c'est le Père Noël qui l'y a déposé quand il était bébé. Gregor, un autre pensionnaire plus âgé, n'a jamais accepté l'arrivée de Julius. Il le jalouse, se moque de lui et de ses histoires de Noël. Pourtant, un jour Julius est transporté dans un monde magique où l'on compte sur lui pour sauver Noël car le Père Noël a bel et bien disparu !
http://www.lesfilmsdupreau.com/prog.php?code=jpn

A PROPOS

Comme Ma vie de courgette, de Claude Barras, l'histoire de Julius et le Père Noël commence dans un orphelinat des années 1930. Le héros, un garçon de 8 ans est certain que c'est le barbu le plus célèbre du monde qui l'a déposé là bébé. Au grand dam hélas de Gregor et Paul qui se sentent moins aimés depuis son arrivée et cherchent à lui nuire. Mais Julius a d'autres problèmes à régler: le père Noël a disparu et il doit le retrouver.

Ce premier long-métrage de Jacob Ley, 40 ans, met en majesté les personnages traditionnels de son pays natal, le Danemark: ici, une chèvre ou bouc de Noël tressé en paille, là, un petit cochon en massepain, sans oublier les angelots, lutins et autres elfes. Même le «méchant» Krampus (griffes en allemand), le «démon de Noël» vient du Moyen Âge.

Le cinéaste a mélangé techniques d'animation en 3 et 2 D pour rendre l'histoire attrayante. «Ce sont les dessins d'elfes réalisés au 19ème siècle par un de mes aïeuls, Hans-Christian Ley, qui m'ont donné envie de réaliser Julius et le père Noël. Je voulais faire un film de Noël où l'on se reconnecte aux joies simples et aux traditions d'antan», a expliqué Jacob Ley.

L'objectif est atteint. Si le scénario se plaît à emprunter une voie tortueuse -ce qui n'a pas eu l'air d'embarrasser les jeunes spectateurs-, le graphisme et les couleurs enchantent l'œil. Les aventures de l'intrépide Julius tiennent les petits en haleine jusqu'à l'heureux dénouement. À voir à partir de 4 ans. Pas moins, au risque de déclencher des pleurs. Le diabolique Krampus fait aussi peur que le père Fouettard.

Nathalie Simon (Le Figaro)