ACTUELLEMENT

Semaine du 8 au 14 mai
COMME UN LUNDI
de Ryo Takebayashi
L'ESPRIT COUBERTIN
de Jérémie Sein
UN HOMME EN FUITE
de Baptiste Debraux
CIVIL WAR
de Alex Garland
LA VIE SELON ANN
de Joanna Arnow
BLAGA'S LESSONS
de Stephan Komandarev
UN JOUR FILLE
de Jean-Claude Monod
LE TABLEAU VOLÉ
de Pascal Bonitzer
UNE AFFAIRE DE PRINCIPE
de Antoine Raimbault
JUSQU'AU BOUT DU MONDE
de Viggo Mortensen
BORDER LINE
de Juan Sebastián Vásquez & Alejandro Rojas
LA FLEUR DE BURITI
de João Salaviza & Renée Nader Messora
CHALLENGERS
de Luca Guadagnino
LES VIEUX
de Claus Drexel
BORGO
de Stéphane Demoustier
AMAL - UN ESPRIT LIBRE
de Jawad Rhalib
LE MAL N'EXISTE PAS
de Ryûsuke Hamaguchi
SIDONIE AU JAPON
de Élise Girard
IL RESTE ENCORE DEMAIN
de Paola Cortellesi
ANATOMIE D'UNE CHUTE
de Justine Triet
SUPER LION
de Rasmus A. Sivertsen
KUNG FU PANDA 4
de Mike Mitchell &, Stephanie Stine
L'AURORE
de Friedrich Wihelm Murnau
CASINO
de Martin Scorsese
LE DEUXIÈME ACTE
de Quentin Dupieux
NOUVEAUTE
affiche LA VIE SELON ANN Joanna Arnow

LA VIE SELON ANN

de Joanna Arnow

USA - 2024 - 1h28 - version originale sous-titrée

Avec Joanna Arnow, Scott Cohen, Babak Tafti...


Mer Jeu Ven Sam Dim Lun Mar
22:10*accessible aux personnes à mobilité réduites
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22:10*accessible aux personnes à mobilité réduites
22:10*accessible aux personnes à mobilité réduites
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17:20*accessible aux personnes à mobilité réduites
22:10*accessible aux personnes à mobilité réduites
22:10*accessible aux personnes à mobilité réduites
* Séance accessible aux personnes à mobilité réduite

Ann, tren­te­naire new-yor­kaise, livre sa ver­sion décom­plexée de la sou­mis­sion. Les ren­contres avec ses par­te­naires, ain­si que ses rela­tions pro­fes­sion­nelles, fami­liales et ami­cales, deviennent alors un savou­reux ter­rain de jeu.

Filmographie : 1er film

NOTE DES SPECTATEURS

Cliquez sur une étoile pour donner une note :
Moyenne : 7/10 (6 spectateurs)

SUR LA TOILE

La mise en scène "blanche" pour laquelle opte Joanna Arnow fait mouche. L'artiste ne se livre pas ici à un simple exercice : elle crée un langage à part entière qui marche main dans la main avec l'émancipation absolue de son personnage, et à l'intérieur duquel se déploie bel et bien, masquée en négation ou du moins en pusillanimité, une fascinante rhétorique de l'affirmation du soi tel qu'il est.
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Joanna Arnow, réalisatrice de «la Vie selon Ann» : «Ce sont les situations d'entre-deux dans l'intimité qui m'intéressent»
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LA PRESSE

LES INROCKUPTIBLES
Génialement tragicomique, le film avance au rythme de saynètes dans lesquelles se déploient un spleen et un malaise abyssaux. À travers la soumission ou la tentative d'une relation “vanille” (conventionnelle), auprès de sa famille ou au travail, Joanna Arnow se confronte à la difficulté du lien à l'autre et à soi-même, à l'ennui aussi, au sens de la vie en somme.
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CRITIKAT
Joanna Arnow parvient (...) à faire éprouver la dépression de son personnage, se distinguant ainsi de la plupart des comédies juives new-yorkaises qui se cantonnent à la raconter. On rit alors à des endroits différents, d'ailleurs pas toujours drôles, comme pour tenir à distance l'abîme existentiel que creuse le film.
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LE MONDE
Dans le marché bien quadrillé du cinéma américain, reste-t-il de la place pour ces petits films tordus et inclassables dont le champ de l'indépendance fut longtemps prodigue ? La Vie selon Ann le prouve en se livrant à une forme d'autoportrait dépréciatif, dans la lignée de la comédie juive new-yorkaise.
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LIBÉRATION
La banalité des rapports amoureux, décrite ici comme plus tôt le quotidien SM, fait résonner une mélodie un poil systématique.
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TÉLÉRAMA
Avec un art consommé de l'ellipse, ce premier long métrage tiré au cordeau offre une succession de scènes aussi courtes que pince-sans-rire.
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A VOIR À LIRE
Curieux film et curieuse mise en perspective de ce drôle de personnage interprété par la cinéaste elle-même qui ne se ménage pas. Sorte de version rajeunie et féminine d'un Woody Allen, qui aurait choisi la passivité et une parole rare.
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